Je Quitte

7 May 2011

Paris to Apeldoorn, Nederland

Merde – c’est quoi, ça? Je voie un queue énorme, plue longue que Chile. Il a au, au moins, 50 personnes qui attendent. Et attendent… et attendent… Il faut les rejoindre car il y avait un erreur avec mon billet.

It’s in French for consistency’s sake; started writing it like this. Ironic because it’s the day I bloody left France. There must be so many errors in this but she’s good enough to go.

Il n’y a que cinq fenêtres ouvert. Ah non, j’ai raison non plus; un mec viens de fermer sa fenêtre. C’est incroyable, donc l’homme à mon droit et moi rigolons. Nous savons que c’est impossible de discuter avec les Parisiens et nous ne pouvons rien faire. Malgré que ce queue grandisse, une autre fenêtre ferme devant nous. Quels fainéants, ceux qui travaillent au guichet. Je suppose que c’est impossible de travailler au guichet sans plusieurs cigarettes.

Enfin, j’ai un aller-simple pour Apeldoorn, après avoir attendu pour 45 minutes selon la vieux espace où on trouve tous infos pour les trains. C’est super; elle ‘flip’ chaque mise à jour.

Le train énorme arrive, la même que Eurostar donc je me détend. Le train me bouge au Nord. Quelle bon façon à destresser: regarder la ville, puis la compagne, puis la ville… etc. se passe à grande vitesse.

À Bruxelles, je suis les fumeurs en dehors de train et fait un promenade sur la voie. Quelques minutes plus tard, il y avait un sonnerie donc je dis “adieu” à Bruxelles. Oui, c’est assez pour un pays entière; j’ai visité la Belgique!

Le train s’arrête. Zut. Je me situe à Amsterdam, mais le billet me dit Apeldoorn. “Amsterdam Schipol” je voie, duquel je n’ai aucun idée. Bien sur, je ne connais rien du Nederland, sauf il faut que j’aille à Apeldoorn. Enfin je trouve un plan pour ce pays qui utilise trop des ‘j’ et’k’ – le première fois que je vois un plan utile pour Nederland.

Ce station (et aéroport, je me suis rendu compte) n’est pas ce que j’ai prévu; c’est hyper moderne. On peut glisser sur la rez et tout est organisé bien. Attention, ce n’est pas organisé trop comme Allemagne. Les trains sont aussi moderne; les passagers aussi.

J’oublie complètement le transport. Heureusement, un train est à la même voie, mais quand je pousse le bouton, rien se passe. Un moment plus tard, le train part sans le seul Australien perdu. Vraiment perdu.

Alors, regardons le billet… deux billets…?

Il y en a deux! Deux billets! Deux aller-simples, un pour Amsterdam et l’autre pour Apeldoorn de Schipol (ici). Merci de m’aider, mon dieu!

“Ja” et “Née” sont les deux mots que je sais in Nederland, donc je me sentais vraiment stupide quand j’achetais ces deux sandwiches. Je les mange lentement pour que sauver le premier repas du jour, sur le bon voie pour Apeldoorn.

“Oliver!”

Je ne connais pas où aller ni qui à rencontrer après être arrivé au gare d’Apeldoorn. Est-ce qu’il y a une dame qui m’appelle? “Oliver! Hellloooo!” Qui est-ce? Je monte les escaliers pour y rencontrer la famille: le frère de ma grande mère et sa fille. Ah c’est claire; ils ont vraiment du sang Indonésie.

Ils me conduisent à la maison familiale sur les rues grandes et bien gardé. Très moderne encore. Les noms dans la famille va être difficile à apprendre, car il y a quinze membres qu’il faut rencontre pendant les semaines viennent.

C’était facile d’oublier ce que je ferai au Nederland car un grand Rendang (un plat Indonésie) est placé devant moi. Nous parlons et je mange lentement pendant que le sommeil descend la plus lentement que j’aie vu. On espère que ses voyages ici passe aussi lentement.